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Et un fly de plus!

Allons y tous ensembles, non?!
Allons y tous ensembles, non?! 
Merci à 23!

Vous m'adorez ne dites pas le contraire...

 

Le radeau

Le radeau... (a vous de trouver les slogans!)
Le radeau... (a vous de trouver les slogans!) 
Le radeau est une asso située Rue Bruat à Brest, festive, enjouée qui implique notemment des artistes libres et indépendants. Heureuse d'avoir pu assister à certaine de leurs manifestations, je me permets de faire un billet dessus! Malgrès toute idéologie, cette association subit le tourment des gens qui s'ennuient, et c'est aussi pour cela qu'il faut lever le voile sur cette asso! Bon trip, jovial, et surtout solidaire! Bon voici le flyer pour le radeau!
Et voici le lien pour vous y rendre
http://www.myspace.com/leradeau

 

Des peluches électorales??!

CHATEAUROUX, Indre (AP) - Après avoir créé Cannelle en 2005, en hommage à l'ourse tuée dans les Pyrénées par un chasseur, l'atelier Blanchet propose ses nouvelles créations "Golène" et "Kozy", inspirées cette fois par les candidats à l'élection présidentielle Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy. "Golène", aux cheveux châtains, porte une robe embellie d'une rose, emblème du Parti socialiste. "Kozy" est habillé d'un short bleu marine et d'un débardeur blanc frappé d'un chêne.

"Ce ne sont pas des caricatures et cela n'a rien de sarcastique. C'est juste un clin d'oeil respectueux envers les principaux personnages de la vie politique de notre pays!", assure Michel Blanchet, le propriétaire de la société qui se présente comme "le dernier fabricant 100% français de peluches artisanales".

Ces "doudous", croqués par le dessinateur Mister Tobago, faites dans des matières douces au toucher, destinées plus particulièrement à la petite enfance, sont aussi une façon de mettre "de la douceur dans la campagne", dit-il à l'Associated Press en précisant aussi qu'il s'agit d'une "façon détournée d'interpeller les candidats sur la disparition, à cause de la mondialisation et de la concurrence redoutable des Chinois notamment, du savoir-faire français".

Michel Blanchet, qui est entré à 21 ans dans la fabrique créée par ses parents en 1953 à Chabenet, au coeur du Berry, estime que ce type d'initiative lui permet de pérenniser sa petite entreprise qui emploie 15 salariés.

"Nous espérons vendre entre 4.000 et 5.000 pièces", prédit Michel Blanchet qui a constaté que les premiers clients achètent majoritairement le couple. D'autres candidats inspireront-ils les créateurs de sa société? "Pourquoi pas une troisième peluche! Mais pour l'instant, le temps nous manque", avoue-t-il. Ces "Doudoulitik's" sont en vente en ligne et chez le fabricant.


Source: AFP

Si qualqun a le site ce serait sympa, j'aimerai bien voir ces trucs! Allo 3617 qui n'en veut?!

 

Bouddhisme, les preceptes.

 

Le Dharma, ou les préceptes fondamentaux de l'enseignement du Bouddha 


Les quatre nobles vérités

Les quatre nobles vérités (skt. catvāryāryasatyāni , pal. cattāri ariyasaccāni, tib. sdug bsngal gyi bden pa) :

  1. La vérité de la souffrance : toute vie implique la souffrance, l'insatisfaction ;

  2. la vérité de l'origine de la souffrance : elle repose dans le désir, les attachements ;

  3. la vérité de la cessation de la souffrance : la fin de la souffrance est possible ;

  4. la vérité du chemin : le chemin menant à la fin de la souffrance est la voie médiane, qui suit le noble sentier octuple.

Les trois caractéristiques de l'existence

« Tout phénomène conditionné est insatisfaisant, tout phénomène conditionné est éphémère et toute chose est sans soi. »

  • Le non-soi ( skt. Anātman pal. anatta), ou interdépendance (plutôt coproduction conditionnée) ou encore impersonnalité : de l'atome à l'univers - en passant par les êtres humains et leurs états d'esprit - il n'y a rien qui ait une existence indépendante et réelle par lui même.

  • L'impermanence (skt. anitya pal. anicca) : tout est constamment changeant, tout est flux, rien n'est figé une fois pour toutes. "Rien n'est constant si ce n'est le changement".

  • L'insatisfaction (skt. et pal. dukkha), ou souffrance : ce n'est pas que la souffrance physique ; du fait de l'impermanence des choses, rien ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive.

Ces trois caractéristiques de l'existence conditionnée sont universelles, et connues une fois développée la vision directe de la réalité (pal. vipassana). Pour ce faire, il faut suivre un entraînement au développement de notre vigilance (pal. satipatthana).

L'être humain n'est donc pas une chose en soi, une entité indestructible contenant une étincelle divine (malgré l'illusion qu'ils en ont), mais la composition impermanente des cinq agrégats que sont la forme (ou corporéité), les sensations, les perceptions, les formations mentales et la conscience. Ces agrégats (skt. skandhas pal. khandha) sont impermanents car soumis eux aussi à la « coproduction conditionnée » (skt. pratîtya-samutpâda), selon laquelle tout a un ensemble de causes et un ensemble de conséquences. Pour les bouddhistes, le moi n'est donc que vacuité (skt. shûnyatâ).

À noter que le nirvāna échappe aux caractéristiques de souffrance et d'impermanence. À contrario, il n'est pas un « en soi » (skt. âtman) : il est vide, mais inconditionné.

Les trois racines du mal, ou « trois poisons » 

Les trois poisons de l'esprit peuvent être dénommés ainsi :

  • Avidité,

  • Colère,

  • Ignorance ou Indifférence (selon la traduction).

Les voiles de l'esprit comportent par exemple :

  • Ignorance, illusion (avidyâ) au sujet des trois caractéristiques de l'existence ;

  • Désir, avidité, convoitise, attachement (trishnâ) ;

  • Haine, aversion.

Le Bouddha estimait que les causes de la souffrance humaine proviennent de l'incapacité à percevoir correctement la réalité. Cette ignorance (qui, aussi curieux que cela puisse paraître, est une émotion, un facteur mental perturbateur) et les illusions qu'elle provoque conduisent à l'avidité des hommes, à leur désir de posséder davantage que les autres, à l'attachement et à la haine éprouvés pour des personnes ou pour des choses.

Sa philosophie est telle que : la souffrance naît du désir ou de l'envie. En les supprimant tout deux il a réussi à atteindre le nirvāna : l'envie engendre le désir. Le désir, si non perçu, engendre la tristesse, la frustration et la colère.

Les renaissances

À cause des trois poisons d'une part, et de la coproduction conditionnée de l'autre, les hommes sont amenés à renaître dans le Saṃsāra (le cycle des renaissances). Le "monde" (Loka) dans lequel ils renaîtront dépendra de leur karma, c'est-à-dire de leurs actions. Cette renaissance ne fait donc que prolonger indéfiniment la souffrance (« n'en avez-vous pas assez de gorger les cimetières ? » dit un texte). À noter que conformément au non-soi, ce n'est ni le même, ni un autre qui renaît (ce n'est pas, comme dans d'autres religions, une âme immortelle qui se « réincarne »). Le Bouddha propose de se réveiller de ce cauchemar, de chasser les nuages de la confusion et de l'illusion pour être illuminé par la réalité. Ainsi, la souffrance et le cycle karmique seront brisés. Il définit le but ultime de son enseignement comme étant « la délivrance », le « dénouement », « la libération de la souffrance » ou nirvāṇa.

Le bouddhisme indique que chacune de ces causes donne suite à la prochaine, jusqu'à ce que la cause de la douzième retourne à la première. Ce cycle de naissances et de décès ne s'arrête que lorsque l'on a atteint le nirvāṇa. La roue de l'existence karmique représente ces trois poisons par un cochon (l'ignorance), un coq (l'attachement) et un serpent (l'aversion). D'autre part si ces trois poisons sont facteurs de souffrance (Duḥkha), sa naissance ne peut résulter que de l'ignorance initiale.

Le noble sentier octuple 


Le noble sentier octuple (ariyāṭṭaṅgika magga) est la pratique de la discipline, de la concentration et de la sagesse. Ses huit membres sont :

  1. Compréhension juste

  2. Pensée juste

  3. Parole juste

  4. Action juste

  5. Mode de vie juste

  6. Effort juste

  7. Attention juste

  8. Concentration juste

On peut aussi traduire, à la place de l'adjectif juste, par les adjectifs parfait, complet ou total.

L'éthique bouddhique et les préceptes

Dans le bouddhisme, l’éthique est basée sur le fait que les actions du corps, de la parole et de l’esprit ont des conséquences pour nous-mêmes et pour ce qui nous entoure, les autres comme notre environnement. Il y a deux sortes d’actions, les actions kusala (mot pali signifiant sain, habile, favorable, positif) et les actions akusala (malsain, malhabile, défavorable, négatif).

Les actions malhabiles sont celles qui prennent leurs racines dans les trois poisons de base: l’avidité, l’aversion et la confusion mentale ou l’ignorance. Elles tendent à avoir des conséquences mauvaises pour nous ou pour les autres. Les actions habiles sont celles qui sont exemptes d’avidité, de haine et de confusion mentale et qui, au lieu de cela, sont motivées par la générosité, par l’amour et la compassion et par la compréhension. Elles tendent à avoir des conséquences positives pour nous ou pour les autres. Dans le bouddhisme, une action n’est donc ni bien ni mal en elle-même, mais est favorable ou défavorable selon la motivation et l’état d’esprit qui la sous-tend.

L’éthique bouddhique nous invite donc à prendre conscience des états d’esprit dans lesquels nous nous trouvons et à partir desquels nous agissons, parlons ou pensons et à être responsable tant de ces états d’esprit que des conséquences de nos actions.

Ces principes sont déclinés dans des préceptes, qui ne sont pas des règles d'interdits, mais des guides de comportement éthique face auxquels nous pouvons nous mesurer et progresser. Ils peuvent aussi être vus comme le mode de fonctionnement naturel d'une personne éveillée.

दिसो दिसं यं तं कयिरा वेरीवा पन वेरिनम् ।
मिच्छापनिहितं चित्तं पापियो नं ततो करे ॥

Diso disaṃ yaṃ taṃ kayirā verī vā pana verinam,
Micchāpanihitaṃ cittaṃ pāpiyo naṃ taṃ kare.

Quel que soit le mal qu'un ennemi fasse à un ennemi ou un haineux à un haineux,
Un cœur mal dirigé fait un mal encore plus grand.

(Dhammapada, « Cittavaggo tatiyo » [Versets sur le cœur], verset 42)

Les 5 préceptes

Les préceptes les plus fréquemment suivis sont les cinq préceptes, généralement présentés sous une forme négative :

  • S'efforcer de ne pas nuire aux êtres vivants ni retirer la vie,

  • S'efforcer de ne pas prendre ce qui n'est pas donné,

  • S'efforcer de ne pas avoir une conduite sexuelle incorrecte ─ plus généralement garder la maîtrise des sens (le mental faisant aussi partie des sens),

  • S'efforcer de ne pas user de paroles fausses ou mensongères,

  • S'efforcer de ne pas ingérer tout produit intoxicant diminuant la maîtrise de soi et la prise de conscience (alcool, drogues, tabac).

Ils ont aussi une forme positive, très utile, ici à la première personne :

  • Avec des actions bienveillantes, je purifie mon corps,

  • Avec une générosité sans réserve, je purifie mon corps,

  • Avec calme, simplicité et contentement, je purifie mon corps,

  • Avec une communication véritable, je purifie ma parole,

  • Avec une attention claire et radieuse, je purifie mon esprit.

 

Le bouddhisme est l'un des grands systèmes de pensée et d'action orientaux, né en Inde au VIe siècle av. J.-C.. Il est fondé sur un triple socle appelé les Trois Joyaux : les bouddhistes déclarent prendre refuge dans le Bouddha (le fondateur du bouddhisme), dans le Dharma (la doctrine du Bouddha) et dans le Sangha (la communauté des fidèles pour certains, l'Ordre monastique pour d'autres).

La difficulté à définir le bouddhisme à l’aide de catégories classiques, fait qu’il est souvent considéré comme une philosophie ou une religion.

À l'origine, le bouddhisme n'est pas une philosophie mais une « leçon de choses » (Dhamma en pali, Dharma en sanskrit), l'enseignement de la réalité, un exposé des faits, de la souffrance, de son origine et de sa cessation pour finalement atteindre le nirvāna. Il donnera naissance par la suite à une riche tradition philosophique et parfois religieuse. Il est quelquefois décrit comme une « science de l'esprit » inspirée par les enseignements du « Bouddha », un homme dont l’existence historique est attestée, même si les détails de sa vie restent, pour beaucoup d’entre eux, invérifiables..

Le Bouddha est un chef spirituel qui vécut au Ve siècle avant l'ère chrétienne. Les années de sa naissance et de sa mort (ou parinirvāṇa) ne sont pas claires ; il aurait vécu à peu près quatre-vingt ans, mais les traditions ne s'accordent pas. La plus ancienne, de langue pāli, qui a semblé longtemps la plus probable, le fait naître en 624 av. J.C. et mourir en 544 av. J.C.. Les Thaïlandais font débuter le calendrier bouddhique en 543 av.J.C., un an après le parinirvana.

Il avait pour nom Gautama, qui serait soit son gotta (nom de famille), soit une appellation signifiant « fils de Dame Gautami » [1], et appartenait au clan Śākya (ou Shakya), de la caste kshatriya des nobles-guerriers, d’où son surnom de Shakyamuni, « le sage des Śākya ». Notez que c'est là le nom principal que la tradition dite du Mahayana lui donne - Bouddha Shakyamuni -, et par lequel on le distingue des autres Bouddhas. Siddhârtha est un prénom qu'on lui a inventé au début de l'ère chrétienne ; il est parfois appelé Siddhârtha Gautama (pāḷi : Siddhattha Gotama). Il serait né à Kapilavastu (Uttar Pradesh), de la reine Māyā , morte à sa naissance, et du roi Śuddhodana.

La vie du Bouddha est riche en légendes décrivant des miracles et des apparitions divines. On ne peut cependant pas nier qu'un guide spirituel nommé Gautama ait existé. À cette époque, le monde hindouiste était agité par d'importantes dissensions philosophiques et spéculatives ; c'est d'ailleurs à ce moment que le jaïnisme commence à s'imposer réellement. Pour être signifiant au sein de son milieu socio-culturel, le bouddhisme s'est imprégné d'hindouisme, auquel il a emprunté nombre de concepts, en les modifiant sensiblement parfois. Il a ainsi adopté le cycle des réincarnations (saṃsāra), qu'il réinterprètera en « cycle des renaissances », puisqu'il affirmera l'inexistence de toute âme pouvant se « réincarner », et le principe de la rétribution des actes (karma), c’est-à-dire des mérites et des fautes accomplies au cours des renaissances successives.

 

Si l’on considère que le bouddhisme est né à la mort de Gautama (~543 avant J.-C), c'est seulement 300 ans plus tard que les paroles et les enseignements de son fondateur commencent à être répandus et pratiqués largement. Cependant, "Nul n'est prophète dans son pays" adage bien connu, puisque l'enseignement de Bouddha n'a pas été bien accueilli en Inde, malgré la conversion et les efforts de Açoka 3 siècles avant J.C. pour le répandre dans tout le pays. C'est grâce à un moine chinois au VIe siècle de notre ère (Tam Tang en vietnamien) qui est parti vers l'ouest - dans une épopée racontée en français et parue dans "Les Pléiades" : Tây Du Su - pendant 14 ans à la recherche des enseignements du Maître, que le bouddhisme a été introduit en Asie (Chine, Japon où il devient le Zen - la Corée et le Viêt Nam; Le Viêt Nam du Sud a surtout bénéficié de l'école Théravada par les moines venant de Ceylan, du Cambodge.) Le fait que le bouddhisme indien est apparu en ZEN japonais souligne le caractère souple et tolérant de la doctrine: on le "compare" - si l'on peut se le permettre! - à l'air ou à l'eau qui prennent la forme du récipient qui les recueille ... Carl Sagan, l'illustre astrophysicien, initiateur du projet S.E.T.I. - recherche des intelligences extra-terrestres - interrogé par les journalistes si dans d'autres mondes éventuellement existerait une "religion" a répondu "oui, le bouddhisme !... parce que le bouddhisme respecte la VIE !"

Le Bouddha a souligné qu'il n'était ni un dieu, ni le messager d'un dieu, et que son système de pensée n'était pas d'origine divine, mais plutôt axé sur la compréhension de la nature de l'esprit humain, lequel pourrait être redécouvert par toute personne par ses propres moyens et par l'expérience ; le bouddhisme des origines niait même la création du monde par les dieux, la rédemption ou la révélation. Aujourd'hui, certains courants ont réintroduit des concepts écartés par le bouddhisme des origines. Ils considèrent qu’il existe une réalité ultime, non duelle, qui ne contredit pas l’existence de phénomènes ou concepts duels, samsariques, qui n’en sont simplement pas le reflet exact.

Quand on y pense on est vite perdus... Sniff en plus j'ai pas fini mes recherches!!! Je sens que ej suis pas couchée.. J'espere au moins que ca vous intéresse... Signé: un auteur fatigué...

 

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